T'as pas dis Go!!!

À mon tour de rechercher un logement. Il parrait que l'université de Montréal serait prête à m'offrir une mise à niveau pour accéder en Biologie.. Éventuellement. C'est un programme d'un an, mais bon, pas de pression.

Bin, c'est ce que je me dis, pour garder le stressomètre bas. Toutefois, mon frère n'aide pas. Il est entre deux emplois et n'est pas décidé de vouloir me suivre à Montréal pour poursuivre ses démarches... Et par le temps qu'il se sera décidé, tous les appartements seront occuppés par l'infestation d'étudiants. En passant, il devrait y avoir des statistiques en quelque part qui disent que les étudiants forment (voir une grosse partie ou une majorité) de la populace îloise. Quatre universités de ... beaucoup... mille étudiants, ça doit compter pour quelque chose!

Bon, j'ai légèrement divergé.. Veuillez m'en excuser. En fait, je sais pas plus si ça me tente d'aller vivre à Montréal. Je ne veux pas devoir me taper de la physique et d'autre maths! Et pourtant, c'est ce que je vais devoir faire pour accéder à quelque chose que j'aime. Pourquoi faut-il toujours qu'il en soit ainsi?

Et puis je ne sais pas ce que je vais faire par la suite. Ça va dépendre de mon 'écoeuretterie' des études. J'aimerais toujours aller me perdre en Europe. J'aurais l'opportunité d'aller faire un an de mon bac de bio en France ou en Belgique, mais ce sera dans combien de temps? Nah, je voulais plutôt me perdre dans un petit vallon en quelque part dans une contrée... Ça s'enligne pas pour ça. Et VLAN mon escapade!!!!!!!!! *soupir* Chouette!

J'ai prévu le coup de la déprime pré-'j'ai-aucune-idée-de-ce-qui-m'attend-et-de-ce-que-je-veux-faire' et je me permets de prendre des vacances, pour relaxer et planifier le déménagement, ou si vous préférez une démission. Ça me fait du bien d'y penser quand mon vet me fait bouillonner... soit souvent. Au moins je n'entends plus parler des satanés vers du coeur. En tout cas!


Vive les tourbillons de la vie! :-)